La domination

Un ami soumis m’avait parlé d’un film qui parlait de sm avec Gerard Depardieu. (celui que j’ai accompagné à Cannes). Il n’est pas très reluisant pour le sm, je trouve. C’est un film qui pourrait se qualifié de grand public mais de grand public averti. Car les scènes sont quand même explicite pour certaines et voir crues dans les mots parfois.


 

On voit une Domina qui est finalement en quelque sorte un peu « malade », une personne pas tout à fait net mentalement, une personne ayant finalement assez trouble, je dirais presque fragile psychologiquement. Assez flou son personnage. Disons que cela se laisse regarder mais sans plus, ce n’est pas un grand film.


 

D’ailleurs en parlant de sm pour grand public. Il y a quelques jours, je viens rendre visite à ma voisine du dessous qui m’avait demandé de passer pour l’aider pour des documents. On papote, la télévision marchait. D’un seul coup, il me semblait entendre parler de sm à la télévision. Je regarde discrètement ce qui passe à la télévision et je vois le feuilleton « plus belle la vie ». Alors je me dis que je me suis trompé et je repars dans la discussion. Puis cela revient. Eh oui, il parlait bel et bien de sm dans ce feuilleton pour tous âges confondus, de la gamine de 10 à la mamie de 70 ans. D’après les bribes vues et entendues, en gros une des mamans du feuilleton avait jouer au sm en étant la Maîtresse avec le papa des garçons du feuilleton. Oh le fils offusqué qu’il se passe cela et puis la maman dit que ce n’était qu’un cours de gym en fait. Le garçon rassurait qui dit que le sm c’est grade et pour des gens anormaux en gros. Ce qui m’a fait sourire c’est qu’il a dit le baratin habituel qu’on entend. Enfin, on en parle de plus en plus mais ce n’est pas pour cela que les mentalités avancent.

Par Lady Ariciaa
Mardi 30 juin 2 30 /06 /Juin 22:03

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Comme quoi le bdsm ça inspire bien car entre les séries, la publicité, ma musique ...
Par Lady Ariciaa
Dimanche 7 juin 7 07 /06 /Juin 15:41

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Origine des mots

Martinet, père fouettard, mère fouettarde, fouetteur et fouetteuse.

1 - Le martinet

Le martinet est un petit fouet avec des lanières en cuir. Il est constitué d'un manche en bois d'environ 25cm à 35cm. Il est, en général doté d’une dizaine de lanières plates ou carrées d’une longueur un peu supérieure à la longueur du manche. C'est un petit fouet traditionnel pour le châtiment corporel et utilisé autrefois en France, voir toute l’Europe. Il est particulièrement efficace sur une peau nue. Les fesses, autrefois, connurent des moments de crispations, de sifflements et de claquements secs. Elles devenaient zébrées et de couleur rouge vif. On peut dire que les lanières allumaient le feu ! Dans les pays anglo-saxons (USA – UK …) le martinet est connu sous le nom de « french whip », traduction : fouet français.

Le martinet est similaire au Chat à neuf queues, un instrument sévère, à neuf lanières longues généralement en cuir, utilisé dans les marines, les forces armées et les institutions pénitentiaires en Angleterre.

L'usage du martinet pour fesser les enfants est cependant tombé en désuétude en France, et peut être assimilé à des mauvais traitements. Une jurisprudence française de 1984 fait désormais apparaître implicitement le martinet comme étant hors-la-loi. C'est d'ailleurs pour cela qu'on le trouve désormais au rayon « produits pour animaux » de certaines grandes surfaces. Le martinet est aussi vendu dans les sex-shops, il peut être fabriqué par un artisan du cuir comme le bourrelier, c’est certainement chez eux que nous trouverons les meilleurs martinets. Le martinet restera un instrument de prédilection pour la fessée dans le « SM », c’est à dire le sadomasochisme.

Origine du mot martinet

D’après le Dictionnaire étymologique de la langue française d'Oscar Bloch et Walther Von Wartburg, la référence en matière d'étymologie, le nom, qui n'est pas attesté avant le début du XIXème siècle, aurait deux explications possibles.

Ou bien il s'agirait d'un diminutif de Martin, surnom attribué au bâton et qu'on retrouve chez « Jean de la Fontaine » ou bien son nom proviendrait du général français Jean Martinet qui infligeait des exercices interminables et épuisants aux troupes de Louis XIV et exigeait un respect absolu du règlement. Il aurait préféré l'utilisation d'un fouet à multiples lanières plutôt qu'un instrument de flagellation à lanière unique, comme les chambrières utilisées en équitation et qui avait tendance à abîmer, voir tuer les hommes durant le châtiment corporel.

2 - Le Père Fouettard

Le Père Fouettard est apparu au XVIe siècle. Plusieurs versions de son origine hantent les campagnes.
En Alsace et en Lorraine

Selon la vraie histoire alsacienne, le personnage de Pierre Ladret aurait été inspiré par le fantôme d'un homme qui a bel et bien existé : le seigneur Axel Biard. À la fin du Moyen Âge, ce terrible seigneur terrorisait la commune de Wissembourg. Il aurait laissé un tel souvenir qu’il serait devenu le Père Fouettard dans toute la région... et au-delà.

Selon une autre version, il serait né à Metz en 1552 pendant le siège de la ville par l'armée de Charles Quint. Les habitants de la ville firent une procession avec un mannequin à l'effigie de l'empereur à travers les rues avant de le brûler. Ce mannequin pourrait être à l'origine de la légende.

La ville de Metz donne sa version du personnage : Une des légendes raconte que le Père Fouettard est né à Metz en 1552, lors du siège de la ville par les troupes de Charles Quint. Pour donner du courage aux habitants assiégés, la corporation des tanneurs invente un personnage grotesque, armé d'un fouet, qui poursuit jouvencelles et damoiseaux. L'année suivante, Metz est libérée. Le personnage au fouet est ressuscité. Son passage coïncide avec celui de Saint Nicolas. Sa caricature restera dans les esprits sous l'appellation de Père Fouettard, un tanneur de fesses, accompagnateur de saint Nicolas, un distributeur de cadeaux.
En Espagne

Il pourrait être aussi d’origine espagnole. Les espagnols étaient terrorisés par le despotisme de Charles Quint. Après sa mort, pour se moquer de lui, ils créèrent un personnage petit, noire de peau comme les maures et se trouvait toujours derrière le grand Saint Nicolas. Charles Quint avait beau avoir été l’empereur d’un royaume où le soleil ne se couchait jamais, il ne sera jamais égal à un saint du paradis. Et comme il était très méchant, le maure avait un bâton dans sa main. Plus tard le bâton a fait place à des verges, puis à un martinet.

3 - Mère fouettarde

En Italie dans la nuit du 5 au 6 janvier la Befana vient mettre des cadeaux dans les bas « pas les souliers » des enfants sages et des morceaux de charbon dans ceux des enfants désobéissants. Nous voilà donc bien en présence d’un avatar féminin du couple Saint Nicolas et Père Fouettard. Elle est une sorte de dualisme, d’une part la « Mère Noël » doublée de la « Mère fouettarde ».

4 - Fouetteur et fouetteuse

Il est probable que ce mot remonte au 17ème siècle. Dans les collèges, un frère religieux avait pour mission de punir les élèves avec un fouet généralement un martinet avec des lanières en cuir ou en corde. il portait comme nom le Frère Fouetteur ou Frère Discipline. Le fouet portait parfois comme nom la discipline. Au 19ème siècle, dans les maisons closes, des prostituées pratiquant la flagellation étaient appelées : Maîtresses ou Fouetteuses. Les maisons closes sont interdites en France depuis 1946, ce n’est pas le cas en Belgique, en Allemagne et en Hollande. Cependant bon nombre de « Fouetteuses ou Maîtresses » sont sollicitées par des « Minous » en mal de fessées.

Tiré de skiran, le minou des ardennes


Par Lady Ariciaa
Lundi 25 mai 1 25 /05 /Mai 10:55

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Un bon jeu SM avec ou sans accessoire, avec ou sans douleur, est un jeu psychologiquement et physiquement sain, sur, consentit et négocié (SSCN). La tendance actuelle est de séparer les jeux SM sains des jeux pathologiques par leur dose de risque.

Les facteurs de risques qui peuvent altérer et dévier les jeux SM vers des jeux pathologiques ont en général les origines suivantes :

1 – Abus


L’abus est rare mais peut arriver quand l’échange de pouvoir fait perdre le contrôle et de savoir doser, d’une façon adéquate, le pouvoir consenti. Quand un jeu SM dépasse les critères (SSCN), il devient pathologique. Oublier un captif ligoté, laisser un captif seul, ne pas détacher rapidement. Dans d’autres cas, l’abus vient d’un problème psychologique, quand par exemple un soumis désire être battu parce qu'il a une mauvaise estime de soi, qu’il pense qu’il mérite d’être humilié, il peut consentir au delà du simple jeu. Quand une fille réclame une mise en scène de viol et accepte d’être violée réellement, le jeu n’est plus sain, il devient pathologique.


L’image des SM dans les médias est malheureusement confuse, mettant en lumière les cas pathologiques et non pas la majorité des cas, ce qui continue à cultiver l’image de jeux SM comme dangereux, pathologiques, et déviants


2- Limites


Une minorité des pratiquants peuvent menacer leur intégrité physique ou leur vie dans des jeux SM excessifs ou mal négociés. La plupart des pratiquants S & M sont dominants ou soumis dans des situations spécifiques, mais dans leur vie ordinaire, ils ne sont pas soumis ni dominants. Une personne devrait comprendre que la domination pendant un jeu SM est une mise en scène qui s’arrête dès la fin de jeu, la vie réelle avec ses règles, ses hiérarchies reprend. Dès la fin de la séance, les pratiquants retrouvent leur mode de vie, à la façon de nombreuses pratiques intimes, dès la fin du rapport sexuel, le couple redevient une entité sociale. On n’humilie pas hors séance, on n’inflige pas la douleur hors contexte. Si le jeu SM continue hors contexte, il devient pathologique. Si la personne pense que les rapports sadomasochistes sont les seuls moyens pour nier des liens avec les autres, il y a probablement un problème psychologique profond. Le jeu peut devenir dangereux.


Les sadiques ne sont pas des pratiquants des jeux SM mais des gens qui peuvent mettre l’intégrité physique ou mentale des autres en danger.


Une idée répandue dans certains milieux Sadomasochistes. Certaines personnes pensent que ces jeux sont un moyen de régler leurs problèmes psychologiques ou sexuels. La pratique des SM dans ces cas devient une sorte de fausse thérapie. Il s’agit en vérité de répondre à des besoins psychologiques incohérents ou de nature pathologique.


Il ne faut pas confondre le sentiment de bien être que les pratiquants décrivent après une séance de BDSM avec l'idée que ces jeux peuvent jouer le rôle d’une thérapie car ces jeux n’ont pas d’effet réel durable sur la santé mentale ou physique de la personne, mais un effet apaisant provisoire.


A distinguer aussi les corrections que les jeux BDSM peuvent apporter dans la vie sexuelle ou mentale des gens et une thérapie. Quand une femme décrit que le fait d’être ligotée peut améliorer sa sexualité en l’aidant à s’abandonner et en allégent ses contrôles, elle exprime un problème sexologique. Le ligotage est un moyen, comme l’alcool pour désinhiber. Il est utile occasionnellement, avec une personne précise, et sans abus. Le ligotage ne peut pas être thérapeutique comme l’alcool ne peut pas traiter la timidité ou l’anxiété.

 

Un homme souffrant de mauvaise estime de soi. Il peut trouver dans les jeux SM un apaisement. En étant dominateur, il exprime durant une séance ce qu’il lui manque dans la vie réelle, mais cette expression ne peut pas servir hors de contexte de jeu. Il peut trouver un apaisement en étant soumis ce qui risque d’intensifier sa mauvaise estime de soi ou de la cultiver.


On peut dire tout simplement que les jeux BDSM, et les SM en particulier ne changent rien, n’améliorent pas un problème psychologique, n’aggravent pas un problème psychologique sauf en cas d’abus ou de jeux pathologique.

Tiré du site "pathol08.com"

 

Par Lady Ariciaa
Samedi 9 mai 6 09 /05 /Mai 14:07

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J’ai été contacté via mon mail par une personne me disant travailler dans une maison d’édition et qu’il était dommage qu’il n’est pas découvert mon blog avant car la maison d’édition veut s’éloigner du bdsm pour se tourner plus vers l’érotique, enfin l’érotique « correct ».


Quand j’habitais dans le Nord, j’allais faire mes achats bdsm dans un grand sexe shop sur Lille, la grande rue commerçante de Lille, celle de la gare. Il y avait tout un espace réservé au bdsm et même un présentoir pour les cravaches, fouets, menottes en cuir et autres. Il était bien fourni, j’aimais parfois juste y aller pour regarder les accessoires. J’y suis allée cette semaine car j’étais de retourné dans le Nord et à ma grande surprise, il n’y avait plus grand chose. Le magasin a été racheté par une autre marque. Avant c’était Beate Uhse maintenant il s’appelle Adam & Eve, beaucoup plus évocateur pour certains ;-) Ils ont donc décidé de recentrer le magasin sur l’érotique avec les gadgets et la lingerie sexy mais pas provocante. La lingerie exposé, il est vrai qu’elle est belle et parfois un brin aguichante car elle montre juste ce qu’il faut pour attiser la curiosité et l’envie de ces messieurs.


J’aimais aussi me rendre à la Fnac de Lille car il y avait un petit pan de mur réservé à la littérature érotique dont une étagère réservé aux activités bdsm (bondage, fessées, gode ceinture, domination…) J’y suis retournée cette semaine maintenant la littérature érotique est sur deux étagères et je n’ai trouvé qu’un livre sur la fessée, le reste c’était sur d’autres choses.


J’ai donc constaté que le bdsm reculait, est ce que les gens s’en écartent, est ce que comment c’est plus mis en avant c’est moins un fantasme personnel (présent dans la publicité, aux émissions télévisés, dans les séries…), est ce que cela devient trop « commun » et que les gens s’en éloignent donc…


Je ne sais pas mais je constate que les endroits où il y avait du bdsm s’en éloignent et mettent une distance entre eux et ceci.


Mais cela m’a de ce fait en quelque sorte ravie car j’ai pu enrichir ma collection d’accessoires bdsm par des bracelets en cuir qu’on peut attaché tels des menottes via un crochet qui relie les deux bracelet. J’ai pu les acheté à moitié prix. Ici c’est les soldes à mon grand étonnement. C’est les soldes flottantes, je suis du coup ravie car je suis tombé au moment et j’ai pu du coup faire quelques emplettes vanilles (une robe, un t-shirt et une paire de chaussure) ainsi que donc cet achat bdsm. J’aimais bien les bracelets en cuir mais ce n’était pas donné alors à 50 % cela m’a ravit même si j’ai hésité un peu avant l’achat.
Par Lady Ariciaa
Jeudi 30 avril 4 30 /04 /Avr 14:02

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Finalement qu'est ce que la soumission, c'est baisser les armes. C'est s'offrir à l'autre, c'est accepter de devenir vulnérable, de ne plus avoir le choix sauf celui d'obeïr. C'est accepter de faire ce que l'autre a envie, ce que l'autre ordonne. C'est laisser ses envies, ses choix, parfois son égo de coté, ne faire obeïr qu'aux désiratas de la Dominante ou du Dominant.

La soumission c'est accepté de s'oublier, de ne plus penser et d'obeïr, de penser au plaisir de l'autre avant les siens, de mettre son égo dans sa poche et de l'oublier un temps.

C'est se sentir vulnérable, sans défense, etre en position "d'infériorité"

C'est en autre pour cela que je dis aux soumis novices de faire attention à leus choix. Car une fois attaché leurs forces physiques ne leurs sert à plus rien si la Domina s'est bien s'y prendre pour les attacher; les bondager. Car ils ont accepter de se soumettre mais il faut faire attention dans quels conditions. Car il y a des articles de presse sur des séances qui tournent mal. Vous avez beau être plus fort, une fois attaché...

Ne vous précipitez pas sur la première venue, réfléchissez d'abord à votre soumission, à ce que cela implique pour vous, à ce que vous recherchez, à vos limites, au fait que vous allez passer du fantasme à la réalité et si c'est bien ce que vous désirez car entre réalité et fantasme il y a bien souvent un gouffre.

Une fois que vous vous soumettez vous n'êtes plus maître de vous même, vous appartenez pendant un laps de temps à une personne, vous vous appartenez plus, vous devenez son jouet , son animal, sa chose. Tous cela peut faire rêver. Waouh, devenir sa chose ou son jouet mais réfléchissez bien à ce que cela implique, au fait que vous allez être rabaissé, humilié, bailloné, que on ne va pas demander votre avis sur les choses que on va vous ordonner...

Oui cela peut faire rêver, cela peut faire fantasmer mais dans la réalité, vous ne menez plus le jeu, vous ne menez plus la danse. Vous êtes emporté par la danse sans autre choix que obeïr ou de reconnaitre que vous vous êtes trompé et que finalement vous n'êtes pas prêt ou alors vous vous taisez et vous subisez et donc vous ne prenez pas de plaisir.

Je ne dis pas cela dans le vent, j'ai eu un soumis que je ne sentais pas près pourtant il m'assurait l'être. résultat au bout de trente minutes, il m'a demandé si on pouvait s'arrêter là. Finalement effectivement, il n'était pas prêt.

Réfléchissez donc bien avant de vous jetter dans la gueule du loup !

Par Lady Ariciaa
Samedi 18 avril 6 18 /04 /Avr 17:33

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Un brin de sadisme, ça na jamais fait de mal ;-)

Sardax 04
Par Lady Ariciaa
Samedi 11 avril 6 11 /04 /Avr 15:24

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Parfois, je me dis que je possède un peu comme le droit de vie ou de mort sur mes (anciens soumis) car je connais pour la plupart leurs noms de famille, leurs boulots, leurs adresses et parfois même des photos ou vidéos. D’un seul petit doigt, je pourrais mettre en péril leur vie professionnelle ou privée (amicale).


 

Car ce genre de révélation quand ce n’est pas un fait volontaire de la personne est assez déroutant pour l’entourage familiale et encore pire coté professionnelle surtout lorsqu’on a des responsabilités et des personnes sous ses ordres.


 

Par exemple, je connais deux soumis dont je me suis occupé qui travaillent dans la même entreprise, peut être se connaissent-ils, peut être ils sont collègues de travail… et tous les deux sont soumis ! Je trouve que c’est finalement une grande responsabilité que de s’occuper d’un être humain mais eux se rendent-ils compte qu’ils remettent bien plus que leurs corps et esprits pour un laps de temps ?


 

J’ai eu un de mes anciens soumis qui m’a fait souffrir, eh oui j’ai eu la mauvaise idée de m’attacher à lui. Je connaissais son adresse de chez lui (en colocation) et de chez ses parents, son téléphone personnel et chez lui… Donc j’aurais pu me venger assez facilement mais je pense que le devoir d’une Domina ou d’un Dominant est de garder un peu comme dans le monde médical le secret professionnel. Là on se doit de garder les informations des personnes que ce soit des photos, le lieu professionnel, familiale… exclusivement pour nous.


 

La seule exception que j’ai faite et la photo de mon premier soumis. Car il me la proposait puis surtout j’ai bien voulu car il ne vit pas en France et qu’on a pas d’amis en commun.


 

La d/s attire beaucoup mais peu se rendre compte des implications que cela génère aussi bien dans la vie privée que extérieure.


 

A réfléchir avant de se lancer à l’aveuglette….

Par Lady Ariciaa
Jeudi 9 avril 4 09 /04 /Avr 21:34

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J’ai lu beaucoup de post sur divers forums où les soumis pensent à avoir à faire à des Mac Dom qu’ils soient en couple ou juste pour des séances


Je dis Mac Dom car il trouve que leur compagne ne les domine pas assez à leurs goûts ou alors que leur découverte de ce monde n’est pas assez rapide. La plupart sont assez impatient et veulent être dominé selon leurs idées, leurs fantasmes. Ca ne peut pas se faire ainsi.



Par exemple, je sais que j’ai des soumis que j’ai eu trouvé que ma domination n’était pas assez faite d’ordres mais juste de bâillon, de bondages, de cire… C’est simple cela je ne les ai pas revu. Il est vrai que j’ai un peu de mal avec les ordres. D’ailleurs, j’ai pu constater que c’était assez fréquent chez les jeunes Maîtresses comme moi. Je préfère une domination faite de moments où l’autre ne s’appartient plus car il est attaché ou avec des bondages ou qu’il a un bâillon. Les ordres, je pense que c’est plus possible dans une relation 100 % d/s ou sur plusieurs jours de d/s mais pas sur une séance. A moins qu’on veut un homme de ménage en lui ordonnant le ménage comme certaines par exemple. Lorsque je m’occupe de mon chéri, j’aime prendre possession de son corps, de sa bouche, de son sexe, de ses fesses….d’en faire ce que je désire, de le bâillonner,  d’utiliser des bondages, un plug ou autres… 

 


Je dis à ces Maîtresses soit de laisser tomber les soumis consommateurs car ils ne pourront pas leurs apporter ce qu’elles recherchent car ils recherchent avant tous que leurs fantasmes soient réalisés et non de les servir. Ou alors de leurs expliquer qu’elles avancent à leurs convenances, à leurs rythmes et que si ils continuent c’est une punition à la clef, si elles tiennent à ces consommateurs.

 


De mon coté, je suis heureuse car je suis avec un jeune homme qui m’est « réellement » soumis car il ne me commande pas des séances sur mesure même si il y a des sous-entendus mais ce qu’il est normal car c’est un plaisir partagé. Il est taquin mais quelle Domina voudrait d’une carpette faisant profil bas et obéissant à tous sans quelques petites provocations ?
Par Lady Ariciaa
Samedi 21 mars 6 21 /03 /Mars 12:10

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J'ai publié ceci car je vois dans certaines discussions que certains ne connaissent pas cette classification à laquelle souvent on fait appel.

Tiré d’un livre écrit originalement en anglais, par Diane Vera, intitulé " The lesbian S/M safety manual " édité par Pat Califia de Lace/Alyson Press, Boston, 1988, réimprimé en 1990

A l’intérieur de la subculture sm, plusieurs personnes utilisent les mots "soumis(e)" et "esclave". pour décrire plusieurs différents concepts. Quand un(e) soumis(e) dit : " e veux être ton esclave!" quelques fois il (elle) veut juste dire, qu’il (elle) veut être attaché(e), baillonné(e) et fouetté(e). Plusieurs dominantes professionnelles font référence à leurs "pas si soumis que ça" client sous le terme "d’esclaves". À l’autre extrémité, il y a des gens qui souhaitent devenir des "servants(es)" personnel, propriété(e) d’un(e) Maître(sse)  et dont l’unique but de leur existence, est d’existé pour leur Maître(sse) pour son plaisir et le servir. Entre ces deux extrêmes, il y a plusieurs nuances de "soumission".


Les neuf niveaux de soumission


1. Le (la) masochiste non soumis(e) ou le (la)  fetichiste sensuel(le) :

Non intéressé(e) par la servitude, l’humiliation ou de "donner" le contrôle à autrui; il (elle) est intéressé(e) seulement par la douleur et/ou une sensualité plus "épicée  , toujours sous son propre contrôle et terme, pour son plaisir personnel. (Désir de recevoir seulement que des sensations corporelles et nullement intéressé(e) d’être utilisé pour servir un partenaire aux besoins "sadique")


2.  Le (la) pseudo soumis(e), non esclave :

Non intéressé(e) de "jouer à l’esclave", mais intéresser au autre rôle de soumission, comme les scènes de professeur d’école, infantilisme, travestisme forcé. Souvent intéressé(e) par l’humiliation, mais non de servir un(e) Maître(sse) même en jeu. Va largement décider du jeu et des règles.


3. Le (la) pseudo soumis(e), esclave par jeu :

Aime "jouer" à l’esclave. Aime se sentir soumis(e) et servir un(e) Maître(sse) et dans certains cas, aime être utilisé pour satisfaire son partenaire aux besoins sadiques, mais dans tout les cas, sous ses propres termes et conditions. Dicte largement le déroulement de la scène. Souvent des adeptes fétichistes comme par exemple les admirateurs de pieds(foot fetish).


4. Le (la) vrai(e) soumis(e), non esclave :

Donne le contrôle à son partenaire (d’une façon temporaire et sous certaines limites négociées). Trouve sa satisfaction dans les aspects de la soumission autre, que de servir ou d’être utilisé(e) par un(e) Maître(sse). Excité(e) par le suspense, la vulnérabilité et/ou de donner la responsabilité à son partenaire. Ne contrôle pas ou très peu la scène, excepté dans les détails larges, mais recherche son plaisir direct (contrairement d’avoir du plaisir de plaire au dominant).


5. Le (la) vrai(e) soumis(e), esclave par jeu :

Donne le contrôle à son partenaire (d’une façon temporaire et durant certaines scènes, d’une façon brève et sous certaines limites négociées.) Trouve sa satisfaction de servir et d’être utilisé(e) par son(sa) dominant(e), mais seulement pour le plaisir, souvent érotique. Peu aimé ou non, la douleur. Si aime la douleur, l’aime d’une façon indirecte (être utilisé(e) par un(e) partenaire aux besoins sadiques et le(la) soumis(e) met peu de limites à cet aspect de la scène).


6. Esclave à court terme, sans se copromettre mais plus qu'in jeu de soumis(e) :

Donne le contrôle à son partenaire (normalement sous certaines limites et restrictions), pour servir et être utilisé par le dominant, pour des occasions aussi bien érotiques que non érotiques, mais seulement quand le(la) soumis(e) en a envie. Peu également "devenir esclave à plein temps " mais pour une période déterminée comme par exemple plusieurs jours, mais peu décider d’arrêter quand il (elle) le veut. Peu avoir ou pas, une relation à long terme avec un(e) Maître(sse), sauf que le(la) soumis(e) a le dernier mot pour quand il(elle) va servir son Maître(sse)


7. A  temps partiel, consensuel mais pas un(e) vrai(e) esclave :

A une relation avec un(e) Maître(sse) et se considère propriété du (de la) Maître(sse) en tout temps. Veux obéir et satisfaire le(la) Maître(sse) autant dans les activités quotidiennes non érotiques qu’érotiques. Va souvent consacrer de son temps à d’autre activité tel que le travaille, mais son(sa) Maître aura le premier choix sur son temps libre.


8. Esclave à temps plein, consensuel :

À part de quelques règles de base, et limite, l’esclave considère d’exister seulement pour le plaisir et le bien-être du(de la) dominant(e). Par contre, l’esclave va exiger d’être considéré(e) comme la plus grande possession de son(sa) dominant(e). Sa situation étant pas très différente de la situation traditionnelle de la femme au foyer, excepté que dans la philosophie S et M, sa position est consensuelle. Ce qui est encore plus vrai, si l’esclave est mâle. Àl’intérieur de la philosophie S et M, un esclave va entrer dans une relation avec un(e) dominant(e), après avoir considéré(e) avec soin cette relation, à cause de la magnitude du don de soi, et du pouvoir donner au dominant(e). L’esclave est aussi encore plus conscient des dangers de ce type de relation, et va y entrer après entente extrêmement claire et précise, plus encore, du type d’entente que peut précéder un mariage.


9. Esclave total(e), consensuel et sans limite :

Une fantaisie idéale, qui n’existe probablement pas dans la réalité. (Excepté pour certain type de religions ou sectes, ou le consentement est induis par lavement de cerveau., donc pas consensuel.) Certains puristes S et M vont dirent qu'un(e) esclave n’est pas un esclave, si il(elle) n’est pas prêt à faire N’IMPORTE quoi qui peut lui avoir été ordonné(e), par son(sa) dominant(e). L’auteure de ses lignes a rencontré des gens qui se disent esclaves sans limites, mais l’auteure a ses raisons de douter de la véracité de ces affirmations.



Ces "niveaux" sont à prendre comme des catégories arbitraires qui sont là pour rendre compte de la multiplicité des pratiques BDSM. Les 9 niveaux servent à analyser l'expérience SM, d'un point de vue "scientifique", ils ne rendent pas compte d'une hiérarchie établie par des pratiquant(e)s SM. Le BDSM peut se présenter comme un rapport très "libre et spontané", mais aussi peut aussi être plus "normé", c'est à dire ultra codifié, répondant à des règles très précises. Rien n'est plus diversifié que les relations SM.



Par Lady Ariciaa
Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 23:15

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