La domination

La langue française et ses subtilités. Comme je disais hier avec le possessif. De même avec les mots et les sens des mots.

Il y a le mot Maîtresse pour la maîtresse d'école, maîtresse pour l'amante et Maîtresse pour le soumis. Un mot pour trois sens. Pareil Madame peut avoir un sens juste utilitaire Madame Intel ou Madame pour appeler une femme ou Madame avec le respect que cela impose. Et surtout la subtilité qu'il n'existe pas par exemple en anglais entre le "tut" et le "vous" qui marque une différence, une déférence vis à vis d'une personne, un respect, de la politesse.

J'aime ces subtilités. La dernière fois, je disais à min chéri que suite à un évenement ses collègues auraient pu croire que j'étais la Maitresse d'un de ses collègues si il était marié. Il m'a dit sa Maitresse mais d'une voix étonné et même un peu surpris. Là, j'ai réalisé que j'utilisais ce mot sans avoir pensé à cette connotation bdsm possible. Alors j'ai rigolé et j'ai dit "l'amante".

Le plaisir que j'ai dans la d/s est justement que mon chéri passe du "tu" au "Vous' quand il devient mon soumis. Au fait qu'il n'a plus le droit, la permission de me toucher et j'aime justement l'exciter pour rendre ceci encore plus dur. Car j'aime voir son regard ainsi, excité, quasiment noir d'envies (il a les yeux foncés donc cela amplifie son regard ténébreux). J’aime et je raffole de ce regard plein d'envie mais qu'il doit contenir :-)

Par Lady Ariciaa
Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 11:23

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Voici le deuxième article qui date du 24 août.

Pourquoi ?

 

Pourquoi devrait-t-on se conformer à une norme en matière de d/s ? Pourquoi je ne devrais pas avoir qu’un soumis ? Pourquoi je ne devrais pas avoir une relation mi vanille, mi d/s mais à 100 % ? Pourquoi je devrais être plus sévère et moins accessible ? Pourquoi je devrais demander à mon soumis chéri de faire ci ou ça ?  Pourquoi je devrais être moins câline et plus ferme et distante envers mon soumis ? POURQUOI ? ? ?

 

C’est n’importe quoi toutes ses questions ! Parce que j’ai envie d’être ainsi et de construire ma relation ainsi ! ! !

 

Qu’on arrête vouloir me donner des leçons ou des conseils soit disant car elles ou ils ont plus d’expérience que moi ou alors qu’elles ou ils ont déjà eu et vécu une relation d/s (raté bien sûr sinon elles ou ils ne seraient pas si négatifs ! ! ! Chaque domina, chaque soumis, chaque relation, chaque domination … est différent !

 

Eh oui mon chéri est aussi mon soumis mais pas sans arrêt juste quand j’en ai envie. Eh oui c’est une relation mi / mi comme je l’appelle. Car on est pas sans arrêt en mode d/s, celle qui aime être à 100 % d/s comme cela leurs plaisent mais pas moi donc STOP merci !

 

Ce n’est pas parce que on est mi mi qu’on va perdre le contrôle de son soumis, s’il ne veut plus que cela soit à 50 % ou 100 % c’est la même chose. Il ne veut plus et on ne pourra le forcer !

 

J’ai déjà fait un article là dessus « domina or not domina ». On est comme on est, comme on le veut et l’on désire, on domine selon sa vision, selon ses envies… Pourquoi vouloir copier telle ou telle domina, non soyons nous même ! ! !

 

On est comme on est, on domine comme on l’on entend et c’est notre spécificité, notre différence, notre charme.  Pourquoi imiter, c’est tellement plus jouissif de laisser parler son imaginaire.

 

J’aime dominer car c’est selon ce que j’ai envie, ce que j’aime, selon mes désirs et délires… Je laisse parler mon imaginaire, je laisse le temps au temps et on avance tout doucement mais sûrement dans le monde d/s avec mon chéri soumis. :- )

Par Lady Ariciaa
Dimanche 7 décembre 7 07 /12 /Déc 15:00

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Je regardais la télévision ce midi, c'était l'émission "attention à la marche".

 

Pour ce qui ne connaissent pas, il y a toujours une question coquine. Il y a souvent des allusions au milieu bdsm par exemple le ménage fait un par homme sous la surveillance d'une femme ou les menottes et autres accessoires que les personnes apprécient d'utiliser pour épicer leurs vies de couple.

 

Déjà une fois, cela m'avait marqué. Une femme qui disait que un jour son enfant en fouillant pour trouver les cadeaux de Nöel avait failli tomber sur le carton qu'il ne fallait. Car dedans il y avait des menottes, un martinet, des cordes, un bandeau pour les yeux et.... accrochez vous bien..... un serre tête rouge avec des cornes de rennes rouges pailletés qui s'allument et clignotent, lol ! Son mari dans le public était rouge de confusion mais elle, elle était naturelle et se riait juste à gorge déployé.

 

Ce midi entre un jeune homme qui avait essayé la cire sur une petite amie dans le passé. Nous a expliqué que ce moment "hot" comme il disait c'est fini aux urgences et elle s'est retrouvé tartiné de biafine. Il a dit qu'il avait laissé fondre et fait tomber sur son amie mais qu'elle a crié et qu'il y avait peut être des bougies exprès pour cela. Je crois surtout qu'il en a fait tomber en trop grosse quantité et puis aussi trop près de la peau. Je connais un de mes anciens soumis qui a une trace de bougie qui a été longue à guérir. Il avait demandé à sa petite amie du moment de l'attacher et de lui faire couler de la cire. Elle a pris ce qu'elle possédait donc une bougie parfumé et la brûlure est resté longtemps et surtout elle a mis beaucoup de temps à guérir. Il faut prendre une bougie blanche, naturelle sans cochonnerie dedans comme parfum, colorant ou autres produits.

 

D'ailleurs mon p'tit virus a eu le droit aussi à sa trace de bougie (pas avec moi mais avec son ancienne Maîtresse) qui avec le temps c'est atténué mais qui est visible lorsqu'il bronze l'été. De ce fait, j'avais été étonné et ravie et surtout c'est que j'avais réalisé qu'il m'offrait vraiment son corps et me faisait entièrement confiance malgré que ce n'était que le première fois qu'on se voyait en vrai. Je pouvais jouer un rôle sur internet et être une Domina hard, sadique et cruelle. Je savais donc qu'il avait une peur bleue de la cire à cause de son expérience passé mais comme j'aimais cela, il s'est laissé faire et s'est allongé avec je pense beaucoup d'appréhension. J'ai trouvé cela merveilleux comme cadeau, c'est un cadeau qu'un(e) vanille ne connaîtra jamais. Ce sentiment que l'autre nous abandonne son corps, nous le remet et qu'on en devient maître.

 

Toujours ce midi, une jeune femme disait que son copain lui reprochait qu'elle ne m'était jamais les tenues sexy offertes par lui. Alors un soir pour lui faire plaisir, elle s'est pomponné et s'est habillé puis a pris une cravache de dressage pour pimenter le tableau. Mais quand son copain est rentré, il a pris peur et elle a du coup se changer lol.

 

Finalement beaucoup ont des idées "sm" sans vraiment le savoir ou y réfléchir vraiment. Je crois que ce qui est "interdit", "contraire à la bonne morale, au bonne mœurs" donne envie d'être transgressé. Je pense que finalement dans l'intimité beaucoup pratique de la d/s / sm sans y mettre le nom ou sans vouloir se l'avouer ou le reconnaître

 

Par Lady Ariciaa
Mardi 2 décembre 2 02 /12 /Déc 16:09

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En discutant avec un vanille, il m'a dit que la domination s'apparenter un peu à la mort, un jeu avec la mort. Car l'autre laisse son corps, il n'en est pas maître, plus maître de lui même. Il est soumis à notre volonté, notre bon vouloir, nos envies et désirs.

 

Lorsque l'autre est bondagé ou attaché, qu'est ce qui lui reste comme moyen pour se défendre contre une envie qui nous prend et qui lui déplait ?

 

Tout simplement, rien ! Il n'en a pas. Quand il se soumet à nous, il se remet  nous et nous donne son entière confiance. C'est un merveilleux don, un cadeau inestimable mais n'est ce pas parfois dangereux ?

Je répondrais non dans la mesure où on a choisi où on a choisi un(e) Domina(nt) sain(e) d'esprit e ayant un minimum de pratique pour certains jeux.

 

Je répondrais oui comme certains articles dans les journaux ont pu nous le montrer ou comme les témoignages. Finalement quand une personne se soumet à une autre qu'elle ne connaît peu ou pas, c'est un peu comme un jeu avec la mort car on ne sait pas comment se dérouler la séance. Il y a des  pratiques tellement dangereuses comme la strangulation ou l'électricité en autres.  Même avec de l'expérience c'est périeux même je vous laisse imaginer sans...

 

Je pense qu'il ne faut pas jouer avec la vie de l'autre, l'autre reste un être humain. Même si on peut le traiter de tous, d'animal, de chose, d'esclave ou je ne sais quoi encore. Une vie c'est précieux, si fragile et surtout irremplaçable.  Il n'existe pas encore le s.a.v des soumis(e)s cassé(e)s par inadvertance ou par manque d'expérience ou abus de toutes sortes.

 

Il est vrai que j'aime jouer avec un couteau sur l'autre et cela peut s'avérer dangereux voir même très dangereux selon le couteau qu'on prend. Mais je prends toutes les précautions pour et même je dirais plus. Tout d'abord, c'est un couteau quasiment sans dent, car les dents sont vraiment petites et arrondies. C'est un cadeau de vente par correspondance ces couverts. Ce couteau ne coupe pas, au pire il peut provoquer une égratignure mais en aucuns cas couper. Quand je joue avec ce couteau, je me plaque derrière le soumis. Il est attaché et je colle son dos contre mes jambe car je suis à genoux derrière lui et je mets mon bras sur sa gorge. Cela me permet si il bouge de serrer mon brs et donc avoir une bonne prise et donc le dissuader de bouger. Car effectivement un couteau, cela fait peur c'est un peu le but. Mais si il veut bouger car il prend peur (mais ne me donne pas pour autant d'arrêter et ça n'a jamais été le cas sauf un mais il ne m'a rien demandé mais j'ai arrêté car j'ai senti qu'il prenait vraiment peur donc à partir de ce moment ce n'est plus un plaisir pour moi), je le retiens tout contre moi et lui serrant la gorge de mon bras et ça dissuade de bouger !

 

Ce vanille me disait qu'il avait déjà eu ces idées mais qu'il tenait trop  la vie pour réaliser ce fantasme de soumission. Je lui ai dit  qu'il n'y avait pas que la domination physique, il y a aussi la domination cérébral dont je suis très friande. D'ailleurs à mon sens la domination psychologique, c'est à mon goût qui est la plus délicieuse et intense et surtout la plus forte en émotion pour moi. Surtout c'est une domination sans traces du moins physique ;- ) Comme je dis, les marques physiques ne restent qu'un temps et disparaissent une fois guéries. Alors que l'empreinte que je laisse lors d'une domination psychologique est beaucoup plus forte. Je dirais presque indélébile pour les vanilles qui ont franchi le pas d'une séance bdsm et qui j'ai été donc leur première Maîtresse. C'est tellement fort de savoir qu'on a laissé une empreinte à une personne et qu'elle n'est "visible" que par lui et moi en quelque sorte.

 

La mort donc je dirais non, ce n'est pas aussi noir. Mais effectivement il ne faut pas se donner à n'importe qui meme pour un homme. Car une fois que vous êtes messieurs, vous n'avez plus cette force qui fait que vous êtes plus fort que nous, à ce moment vous êtes entièrement livré à la femme a qui vous vous êtes abandonnés. Il faut juste faire attention à qui on se donne femme comme homme.

Par Lady Ariciaa
Dimanche 30 novembre 7 30 /11 /Nov 19:56

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Tiré du forum http://www.questionsexualite.com

"Vous nous demandez si le BDSM est répertorié dans le Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, Fourth Edition (DSM-IV) qui est un ouvrage de référence pour le milieu médical créé par Association Américaine des Psychiatres. La réponse à votre question est OUI.

Maintenant, je crois qu'il est important de démystifier les jeux sexuels et les comportements paraphiliques. Lorsque votre pratique vous pertube et que vous êtes continuellement préoccupés par ses fantasmes et ses pulsions, au point d'avoir des difficultés à fonctionner dans plusieurs aspects de votre vie (travail, famille, société), alors vous avez un trouble mental.

Le BDSM est en popularité croissante avec l'ère Internet. Mais même douce, elle ne fait pas encore partie de la majorité des pratiques sexuelles nord-américaines. Les clubs BDSM accueillent généralement des gens sains qui se respectent dans l'art de leur pratique. Comme cette pratique est illégale au Canada, ils s'assurent de ne pas avoir d'ennui.

Dans toutes pratiques sexuelles, c'est le non respect des autres qui devient déviant.

Josée Ménard, Sexologue"


Par Lady Ariciaa
Jeudi 13 novembre 4 13 /11 /Nov 23:02

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Eh oui encore un article sur le bâillon :- )

Je discutais avec une soumise qui ne voulait pas de cela, c'était une demande qu'elle avait fait à son Maître. Concernant les soumis que j'ai pu avoir, ils ont tous aimer en avoir un. C'est quelque chose de puissant, de puissamment érotique. Que ça soit pour le soumis comme pour la Maitresse.

On me dit souvent qu'avec le bâillon le soumis ne peut pas dire le "safeword" mais quand on a une relation complice, on connait l'autre. On connait sa morphologie, ses réactions, ce qu'il peut supporter ou pas et surtout on est attentive à lui.

Il m'est arrivé d'arrêter de pratiquer quelque chose car je sais qu'il n'aime pas trop (par rapport au passé) ou que tout simplement parce qu'il est fatigué ou que momentanément ça lui fait mal. La d/s est un plaisir mutuel et partagé, on ne peut jouer solo ou égoïstement. Sinon où est le plaisir, ça devient de la barbarie, de l'abus de pouvoir.

Un homme attaché ne peut plus rien faire, il a beau dire que si ça lui arrivera il se détachera. Mais si comme moi la Domina connait des nœuds inviolables (appris par des Dominas expérimentées) l'homme peut toujours courir pour se détacher. Il faut arrêter messieurs, de penser que comme vous êtes un homme vous n'avez rien à craindre à vous donné aux mains d'une femme, d'une Domina. Vous n'êtes qu'un homme et attacher votre force qui est votre atout principal sur la femme disparait, s'évapore.

Puis si le soumis est attaché et bâillonné, la parole s'avère difficile. Même si vous pouvez parler, la compréhension de ce que vous dites est incompréhensible.

 

 

Par Lady Ariciaa
Dimanche 2 novembre 7 02 /11 /Nov 11:15

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J’ai des soumis avec qui j’avais des contacts avant de connaitre et de débuter ma relation avec mon p’tit virus qui me disent que je leurs donne du courage dans leurs recherches car une femme qui prend un réel plaisir à la Domination cela existe. Un plaisir qui ne vient pas de douleurs passés ou mue par un besoin de vengeance qu’il soit conscient ou inconscient.

 

Comme dans tous, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac. Il y a les vénales qui le reconnaissent ou non, les physiques, les psychologiques, les novices et les expérimentés… on est toutes différentes et on a toutes notre passé et notre parcours qui nous amené jusqu’ici.

 

Sincèrement, je pense que la domination ou la soumission ont là dans la tête et dans le sang dès le départ même si c’est inconscient. Je vois bien plus j’avance et plus je remarque des choses qui paraissaient insignifiantes finalement ont un lien avec le milieu de la d/s.

 

Depuis toujours :

 

-     J’aime me bagarrer contre les hommes et utiliser leurs faiblesses (par exemple beaucoup d’hommes craignent les chatouilles). Je pensais que c’était mon coté masculin qui s’exprimait et finalement …

-    J’ai aimé les publicités kookai que j’avais collé dans mon agenda au collège

-    J’avais déjà l’idée étant jeune de contrôle sur un homme (du genre attaché sur un lit à l’abri des regards des autres et ainsi livré à moi sans défense)

-    J’aimais tous ce qui était contrainte physique même si je ne réalisais rien mais je le voyais dans des films ou séries

-     Quand je voyais des scènes où un homme était livré sans défense à une femme, j’aimais les voir (genre dans la série buffy contre les vampires quand Angel est sous les griffes de Drussila et il est ainsi sous l’emprise et la volonté de cette femme et ainsi livré à elle sans défense)

-     Quand je vois un homme attaché avec un regard particulier (comme dans le clip « trouble » de Coldplay) => d’ailleurs je suis très sensible au regard du soumis, j’aime ça le regardait pendant que je m’occupe de lui. Un regard trahit beaucoup d’émotions.

-         

 

De même pour les soumis, ils sont attirés par les pieds féminins pour les fétichistes, proposent à leurs petites amies de les attacher mais sans savoir trop comment en parler et leurs dire ce fantasme de soumission… C’est un milieu mal vu que beaucoup de personnes pensent malsain, glauques, avec des personnes ayant eu des problèmes de violences, de viols, de manque d’amour, d’attention… Bien sûr oui, il y en a mais il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac. J’ai eu une vie paisible, tranquille, heureuse, choyé par ma famille, ayant des amis, une vie sociale et affective qui me convient… Disons que rien ne pouvait me faire penser qu’un jour je serais Maitresse et pourtant… !

 

DONC IL FAUT ARRETER AVEC CES STEREOTYPES IDIOTS ET NON FONDES. DES PERSONNES SONT DOMINAS OU SOUMIS NON PAS PARCE QU ELLES ONT EUX DES PROBLEMES ETANT ENFANTS OU PARCE QU'ELLES ONT ETE BATTUES, VIOLEES OU JE NE SAIS ENCORE. MAIS PARCE QUE TOUT SIMPLEMENT LA D/S LEUR PLAIT, TOUT COMME MOI QUI AIME LA DS, QUI AIME ME RENDRE EN SOIREE, QUI AIME RENCONTRER D’AUTRES DOMINAS, DISCUTER ET ECHANGER SUR CE SUJET, QUI AIME S'OCCUPER DE SON SOUMIS, QUI AIME L’EDUQUER, QUI AIME AUSSI LA VIE VANILLE AVEC LES SORTIES EN BOITE, LES SORTIES ENTRE AMIS LE CINEMA ET AUTRES…

 

STOP A CES PREJUGES IDIOTS ET SANS FONDEMENT.

Par Lady Ariciaa
Vendredi 24 octobre 5 24 /10 /Oct 14:40

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J'ai vu une publicité à la télévision très gynarchiste.

Leur slogan c'est " les chaussures supérieures pour le sexe supérieur"

Je la mettrais d'ici peu car elle est excellente et elle plaira beaucoup aux fétichistes des pieds.

C'est très à la mode les publicités fétichistes ou ayant un petit coté sm ou suprématie / gynarchiste. Dans les publicités on donne un coté idiot aux hommes comme celle où l'homme prend le croissant à la place du combiné téléphonique. La femme n'est plus la femme objet maintenant elle devient plutôt la super woman, la working woman.

Par Lady Ariciaa
Mardi 21 octobre 2 21 /10 /Oct 21:38

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J'ai parler avec une Domina belge d'une soirée bdsm arreté par la police car la musique était trop forte.

En fait, les voisins ont appelés la police (et la police belge ça ne rigole pas) et ils ont eu une grande surprise en voyant des hommes attachés et fouetter voir autres. Ils ont  embarqués les femmes car la convention de Genève interdit les mauvais traitements et le rezspect de la dignité humaines. mais les hommes ont réussis à faire en sorte que les femmes soient relanchés sans aucunes plaintes retenus contre elles. Car même consentents...

Voici un article sur le bdsm et la loi tiré du forum "doctisimo"

 

Sadomasochisme : le droit de se faire mal ?


Dans les pratiques sadomasochistes, la souffrance côtoie le plaisir sexuel. Qui dit souffrance dit blessures, plaies. Le responsable des sévices tombe-t-il sous le coup de la loi malgré le consentement de la victime ? Peut-on en toute impunité blesser un être humain même si celui-ci le demande ?



Les  tribunaux britanniques et la Cour européenne des droits de l'homme ont dû plancher sur cette question complexe voilà quelques années. L'affaire a débuté par la découverte fortuite en 1987, par la police anglaise de casettes vidéo d'un club de rencontres sadomasochistes. Une cinquantaine d'hommes étaient concernés. Les actes sexuels filmés se sont déroulés pendant une période de 10 ans. Ils comportaient des sévices des organes génitaux avec de la cire chaude, du papier de verre, des hameçons, des aiguilles et également des corrections rituelles à main nue, au martinet ou avec des ceintures cloutées. Tous les participants étaient adultes et consentants. En 1990, plusieurs participants ont été inculpés et déclarés coupables de violation de la loi des atteintes aux personnes. Cette loi anglaise de 1861 stipule que : toute personne qui blesse ou inflige une douleur sérieuse à une autre personne illégalement et avec l'intention de nuire, avec ou sans armes ou instruments, est passible d'emprisonnement.



Des sévices consentis



Si dans cette affaire ces hommes ont été condamnés à des peines d'emprisonnements de 2 à 4 ans, dans d'autres domaines la société permet des "sévices". Certains plus anodins bien sûr ! Vous pouvez demander des peercings, des tatouages, le tatoueur ne sera pas tourmenté par la justice. Pourtant, il y a là aussi, douleurs et "blessures" physiques définitives librement consenties.  Par ailleurs, il n'existe qu'une partie du corps qu'un chirurgien peut vous amputer uniquement à votre demande sans raison médicale : le prépuce. La circoncision est une mutilation volontaire légale. Pas toujours volontaire d'ailleurs puisqu'elle est pratiquée chez des enfants qui ne peuvent donner leur consentement !



Et puis il y a la boxe. Vous pouvez recevoir et donner des coups pour le "plaisir" dans le cadre de ce sport sans tomber sous le coup de la loi. Alors qu'on sait les dégâts funestes de ses coups de poing sur le cerveau des boxeurs !



Deux poids, deux mesures ?


Pourquoi ces différences ? Sinon que les lois sont faites en fonction de la morale à une époque donnée. Dans les faits, les hommes condamnés ont été punis pour avoir infligé des douleurs et des blessures à autrui, mais en réalité c'est leur choix de sexualité qui a été jugé.  Pour la majorité de nos contemporains se donner des coups sur un ring  ou sur un terrain de rugby n'a rien de scandaleux par contre éprouver du plaisir sexuel dans des pratiques douloureuses n'est pas permis. Le poids de la morale a joué en leur défaveur.


Dans des domaines plus graves, la loi ne laisse pas de choix non plus. Mais là on le comprend mieux, la vie d'autrui est en jeu. Le duel est hors la loi et le consentement des deux protagonistes ne met pas à l'abri des poursuites. De même assister quelqu'un qui se suicide est considéré comme un homicide.


Et le droit à la vie privée ?


Les hommes poursuivis dans ce procès ont tenté de faire valoir devant la Cour Européenne des droits de l'homme, leur droit à la vie privée. Considérant que tout ce qui c'était passé dans ce club de rencontres ne concernait qu'eux, les casettes vidéos n'étant pas vendues mais diffusées aux seuls membres. Au Royaume-Uni depuis 1957, l'homosexualité est ainsi décriminalisée si les actes se déroulent dans la sphère privée.  Mais la Cour Européenne ne leur a pas donné raison. Elle a considéré que l'orientation et les comportements sexuels concernent un aspect intime de la personne, mais que malgré tout dans un pays démocratique, l'immixtion de la justice dans la vie privée peut parfois être nécessaire. La Cour Européenne reconnaît le droit des états à se saisir de toute affaire qui entraîne des blessures physiques

Par Lady Ariciaa
Samedi 18 octobre 6 18 /10 /Oct 19:58

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Voici un article que j'ai trouvé sur un blog d'une soumise (Aurora). J'ai voulu le mettre car j'ai certains de mes anciens soumis qui disent que étant un homme, ils n'ont rien à craindre d'une femme. Mais une fois attaché...

Je suis tout à fait d'accord avec ce qu'elle a écrit et je n'ai rien changé à son article car ça aurait pu être moi qui l'avait écrit car je suis d'accord avec tous ce qu'elle a écrit.

"Cette note parle de la mort d’un jeune homme soumis au cours d’une séance de BDSM et plus précisément de bondage par momification. Et du suicide du « maître » qui présida la session dans le Massachusetts. Du procès post-mortem qui se déroule ces jours-ci.

 

Vous irez lire ici pour comprendre (mais un peu plus bas, il ya une traduction ou plutôt un résumé de l'article. J’évoque rarement ces faits divers sur mon blog.

Tout simplement parce qu’ils ne font que contribuer à jeter l’opprobre sur une communauté à la sexualité particulière qui fait, parfois, déjà peur de par sa seule existence.

 

Vivre est une maladie mortelle pour nous tous.  On le sait, nous n’en sortirons pas vivants. Le simple fait de franchir notre porte le matin n’assure pas que nous rentrerons le soir. Tout le monde a eu, un jour ou un autre, une « conduite à risque », ne serait-ce qu’en prenant le volant fatigué ou en ayant bu le verre qu’il ne fallait pas. Trois à cinq cas de décès par an dénombrés statistiquement et dus à des pratiques BDSM, cela est bien peu. Il  y a, aujourd’hui encore, beaucoup plus de contaminations par le sida dans des relations « classiques ».  Ne l’oubliez pas avant de crier « Haro ! ».  Mais ces trois à cinq morts sont "nos" morts de trop.

 

Reste en effet le fait que ces pratiques -et nous ne le répèterons jamais assez- ne sont pas anodines, qu’on l’oublie trop souvent depuis que l’effet de mode tend à faire du BDSM un « jeu » ouvert à tous.

 

Il est une question que nous avons en tout cas toujours soulevée ici : le danger que représente une relation « immédiate » avec un inconnu, relation née dans le domaine du virtuel. Il en est une autre que peu de pratiquants voudront admettre, même à la lecture de ce lien : l’expérience n’est pas tout, on ne peut se fier à quelqu’un sur une simple « carte de visite » ou les photos d’un beau donjon.

 

Si j’ai choisi finalement, après quelques jours de réflexion, de vous donner accès à ce document, c’est parce qu’il interroge très bien juridiquement à travers ce procès (mais au regard de la loi américaine) les limites de la notion de « consensuel ».  Le « C » de « Safe, Sane and Consensual ».

 

Cette note s’adresse surtout à des adeptes du BDSM.  Ceux-là savent mieux que les autres (qui ne connaissent le BDSM qu’à travers quelques blogs comme le mien) qu’il y a -au-delà de la relation sadomasochiste au sein d’un couple amoureux, complice et en parfaite harmonie- des  sessions extrêmes entre partenaires d’un bref instant et des gens qui les recherchent telles quelles (mais dans l’inconscience que celles-ci pourraient entraîner leur décès).

 

Parmi les non pratiquants, seuls ceux qui -par exemple- connaissent quelques anecdotes de la « vie privée » et des séjours new-yorkais de Rainer Werner Fassbinder ne seront pas étonnés.

 

Cette affaire est si loin de ce qui est généralement abordé ici qu’elle pourra surprendre mais le BDSM, oui, c’est aussi cela.

 

Et il serait bon, justement parce que nous ne sommes pas sous le coup de la loi US, que la partie de la communauté BDSM dite « hard » réfléchisse bien au sens des mots « risque » et « responsabilité » et ne se retranche pas toujours derrière la seule notion de « consentement ».

 

Parce qu’un accident (ici, les trois heures fatales de sommeil du « maître »), quand on « joue » sur le registre dur, ça peut arriver à tout le monde.

 

   Résumé de l'article en anglais :

 Ils s'étaient rencontrés sur Internet, il a traversé l'atlantique pour aller chez LeBlanc. Après le décès d'A. Exley, LeBlanc a signé un papier de 5 pages, et s'est envoyé une balle dans le crâne. Mais il apparaît que LeBlanc était considéré comme un "hard side player", ie. un jouer de l'extrème. Après le décès d'Adrian Exley, des gens se sont présentés à la police signalant qu'ils avaient été ligottés par LeBlanc durant de longues périodes, signalant qu'ils en avaient assez, sans que LeBlanc ne cesse le jeu. Entre Exley et LeBlanc, la session a duré 3 jours ; c'est un troisième homme, Scott Vincent, qui a découvert que Exley ne respirait plus. Il était dans un placard, momifié dans du plastique jusqu'au cou, la tête recouverte d'un heaum de cuir avec un fin tuyau de plastique lui permettant de respirer. "Ce n'est pas parce que vous donnez votre accord pour une session de bondage que vous acceptez d'être mis dans des conditions dangereuses -- laissé seul durant de longues périodes --, ou d'être abusé par le "top" Ces deux actions vont à l'encontre des protocles de bondage, qui dit que les participants doivent arrêter si l'un des partenaire utilise un "safe word" -- mot de secours ; ils disent aussi que personne ne doit être laissé sans surveillance " dit Susan Wright, porte parole de la National Coalition for Sexual Freedom. Pour Brian Plant, adepte de la grande et merveilleuse secte BDSM outre-atlantique : "Personne ne vient jouer en se disant "Oh, je vais mourrir à cause de ce qui va se passer". Vous franchissez une ligne jaune à un moment donné, et cela n'est plus dut tout un jeu consensuel." Kathy Jo Cook, légiste, dit que lorsque vous ôtez les détails croustillants et sensationnels de cette histoire, on en revient aux mêmes problématiques que dans les autres cas de décès "La loi américaine dit que si une personne en tue une autre par négligence ou inconscience, cette personne est coupable. Vous avez le devoir de rester raisonnable. Je pense qu'il s'agit de la même chose ici, abstraction faite du caractère étrange des faits."

 

Par Lady Ariciaa
Samedi 18 octobre 6 18 /10 /Oct 19:33

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